Titre : Les revenants
Auteur : Seth Patrick
Editions Michel Lafon
Nombre de pages : 412
Prix numérique : 12,99 €
Prix broché : 18,95 €
Dans une petite ville française de montagne dominée par un
immense barrage, les habitants abasourdis voient des membres disparus de leur
famille revenir à la vie : le même jour, des personnes de tous âges, parfois
décédées depuis des années, reprennent le cours de leur existence sans aucun
souvenir de leur mort. Camille, 13 ans, tuée dans un accident de bus scolaire,
Simon, qui s'était suicidé avant son mariage, Victor, un petit garçon
mystérieux que personne ne semble reconnaître... Alors que chacun tente
d'accepter l'impossible, des phénomènes étranges se produisent dans la ville et
des meurtres sanglants, semblables à une série d'assassinats perpétrés dans la
région sept ans plus tôt, terrifient la population. Comment les habitants
vont-ils faire face à cet incroyable phénomène qui suscite à la fois la joie,
l'effroi et la jalousie ? Pourquoi ces revenants apparaissent-ils du jour au
lendemain sans raison ? Et pourquoi eux en particulier ? " Ce qu'on
raconte dans Les Revenants, ce sont ces jours derniers où les morts se
relèveront et où se consommera le jugement du monde. C'est la communauté de
parias et d'élus qui se forme autour de cet événement sidérant : une
résurrection.
Qui n'a jamais rêvé de récupérer un être cher trop tôt disparu?
Dans quel cadre ai-je lu ce
livre ?
Je remercie Camille des Editions Michel Lafon de m’avoir permis
de lire ce livre.
Qu’ai-je pensé de la
couverture ?
Un peu flippante, à l’image du livre.
Mon avis général sur
l’histoire
Je connaissais l’histoire pour avoir vu la série télé. Étrangement, j’ai vu la série version
américaine et non la version française, c’est en lisant le livre que je me suis
aperçue qu’il y avait une version française.
En fait, je me suis demandée pourquoi il parlait de gendarme, aux
Etats-Unis, ils n’ont pas de gendarme ! Ainsi que quelques petits détails
qui ont suscités mon étonnement.
Mis à part, ces quelques petits détails, il semble que la série
version française, version américaine et le livre soient pratiquement identiques.
Si je vous assure, c’est la même chose.
Il y a tout de même un avantage à lire le livre bien
entendu. On est beaucoup plus plongé
dans le cœur de l’histoire, plus submergé par les émotions et l’angoisse qui se
détache de l’histoire. On est plus habité.
L’histoire en elle-même, si vous ne la connaissez pas et que
vous aimez ce qui est angoissant et surnaturel, elle vaut vraiment la peine
d’être découverte. L’idée est originale,
de primes abords, elle m’a fait penser à des histoires comme Les 4400, mais une
fois que l’on s’y plonge, on se rend compte que c’est totalement différent, plus profonde et beaucoup plus flippante.
Les personnages.
Avec Les revenants, vous serez confronté à une multitude de
personnage divers et variés. Des
personnages auxquels on s’attache, des personnages flippant, angoissant, mais
rare sont ceux qui laissent indifférents.
Avis sur le style de l’auteur
C’est quand même le gros point positif de ma lecture. En effet, je me suis rendue rapidement compte
que je n’allais pas apprendre grand-chose sur l’histoire, mais cela ne m’a posé
aucun problème car l’auteur, par son écriture, est parvenu à me faire oublié ce
que j’avais vu et m’a à nouveau plongé dans son univers.
L’écriture est vraiment très agréable et transmets parfaitement
les sentiments et l’angoisse que l’auteur à voulu faire passé.
Alors, même si vous avez vu la série, peu importe laquelle et
que vous avez aimé, ce livre vous plaira.
Ce livre me tente beaucoup !!
RépondreSupprimerIl a l'air assez sympa bien que déroutant... je note !
RépondreSupprimerTiens, je n'ai vu que la version française, je ne savais pas qu'il y avait une version américaine ! Je vais jeter un oeil !
RépondreSupprimerJe me note le titre du roman, ça peut être sympa à découvrir :)
Je ne connais pas la série ! Par contre, je viens de le demander pour l'opération Masse Critique ce matin ! Merci pour cette découverte ! Bisous !
RépondreSupprimerWahou ! Alors ça je me le prend.
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