Titre : N’oublie pas de respirer
Auteur : Charles Sheehan Miles
Editions Cincinnatus Press
Nombre de pages : 300
Prix numérique : 2,99 €
Prix broché : 18,38 €
La vie d'Alex Thompson suit le script. Etudiante en droit à
l'université de Columbia, elle est concentrée sur ses notes, sa carrière, son
avenir. La dernière chose dont elle ait besoin serait de reprendre contact avec
celui qui lui a brisé le coeur.
Dylan Paris rentre d'Afghanistan grièvement blessé et il sait
que la seule chose qu'il ne peut pas se permettre est de traîner Alex dans sa
vie chaotique.
Quand Dylan et Alex sont assignés à la même mission de
travail-études et forcés à travailler côte à côte, ils doivent mettre en place
de nouvelles règles pour ne pas s'entretuer.
Le problème est qu'ils n'arrêtent pas d'enfreindre les règles.
La première règle est de ne jamais, jamais parler de comment ils
sont tombés amoureux.
Dans quel cadre ai-je lu ce
livre ?
Je remercie Véronika Sinagra pour cette très belle découverte.
Qu’ai-je pensé de la
couverture ?
Une couverture très « New Adult » et
« Romance » en totale adéquation avec l’histoire.
Mon avis général sur
l’histoire
Une histoire comme j’avais besoin de lire pour le moment. Une histoire d’amour pas toujours évidente
entre deux personnes qui ont le cœur brisé.
L’originalité de l’histoire tient du fait qu’Alex et Dylan se
sont mutuellement brisé le cœur et ne s’attendaient absolument à tomber l’un
sur l’autre au détour d’un couloir, et pourtant…
J’ai beaucoup aimé l’histoire ainsi que les personnages. Je me suis immergée totalement dans
l’histoire d’amour pas facile de ces deux jeunes gens. On ne peut pas dire que ce soit vraiment de
l’inédit mais ça fonctionne, on a envie de croire en ces deux jeunes gens et de
es porter jusqu’au bout du chemin pour qu’ils puissent vivre heureux.
Les personnages.
J’ai adoré Alex et Dylan.
Alex est une jeune femme forte qui aime la vie et, par-dessus
tout, qui aime Dylan, l’homme de sa vie et de son cœur. Elle est intelligente, sensible et a un cœur
en or.
Dylan quand à lui et un jeune homme brisé par la guerre et la
mort de ses amis. Alors qu’elle lui
avait brisé le cœur, c’est pourtant Alex, la seule à pouvoir le faire rebattre
et lui donner envie d’avancer.
C’est deux personnages forts auxquels on s’attache d’emblée.
Avis sur le style de l’auteur
J’ai aimé certaines choses dans le style de l’auteur et moins
d’autres.
J’ai beaucoup aimé le choix des titres des différentes parties
du livre, titres qui sont en total adéquation avec la partie à suivre. Le choix d’avoir alternativement le point de
vue d’Alex et Dylan est très judicieux, je trouve que c’est plus enrichissant
de savoir ce que chacun des personnages principaux pensent, de savoir ce qu’ils
ressentent, comment ils voient et comprennent les choses.
J’ai eu un peu plus de mal avec la tournure grammaticale de
certaine phrase, surtout pour les phrase négative qui sont toutes écriture sans
négation (je ne suis pas certaine que ce soit clair donc je mets un exemple qui
n’a rien à voir avec le livre : « il courrait pas aujourd’hui »,
le manque du « ne » m'a dérangé un peu). Si cela avait été une ou deux fois, je me
serais dit que c’était une erreur mais là, c’est le cas dans tout le livre, je
pense donc que c’était tout à fait volontaire de la part de l’auteur.
Ce qui fait que c’est une choix différent et personnel de
l’auteur, ce qui est une bonne chose, mais qui, personnellement, m’a un peu
dérangée, même si à la longue on fini par s'y habituer.
Pendant ma lecture, j’avais l’impression que l’histoire était
écrite pas une femme, je trouvais que la sensibilité mis dans le récit était
plutôt féminin et je trouve vraiment génial de voir qu’il y a encore des hommes
qui peuvent avoir autant de sensibilité dans leurs écrit.
Il a l'air vraiment pas mal du tout :) Une histoire qui me semble très belle à découvrir :)
RépondreSupprimerIl a l'air sympa... Je le note.
RépondreSupprimerJe l'avais repéré bien avant sa sortie, et j'ai toujours très très envie de le lire.. je désespère d'avoir un jour une version papier pour pouvoir le découvrir.
RépondreSupprimerEn tout cas, ta chronique donne envie !