jeudi 2 janvier 2014

Résurection, Le Dernier vampire





Prix : 19,99 €
Nombre de pages : 384
Editions : Artalys



Je me nomme Aurore, fille de Jean Verger et de Virginie Lemère.
Pas de quoi être fière, je vous assure.
L’un a disparu on ne sait où, l’autre complote pour obtenir le pouvoir.
De la part de vampires, on ne peut espérer mieux, quant à l’esprit de famille, n’en parlons pas.
Nous sommes en 2122 et nous nous terrons tels des rats, dans des espaces clos nommés biodômes.
Autrefois, il existait des cités légendaires en surface, des lieux de lumière et de liberté gorgés d’espoir, c’était avant la grande catastrophe.
Une autre arrive, plus terrible si l’on y songe, celle de voir les humains exterminer notre race.
Si ma mère, par l’inconséquence de ses actes, ne s’en charge pas avant.
Une guerre se prépare, un combat qui ne laissera personne indemne et moi, au milieu de tout cela, je suis prise entre deux feux.
De quoi me mettre les nerfs…
De quoi me mettre en chasse…
De quoi me retrouver dans une belle merde…




Je remercie chaleureusement les éditions du Petit Caveau pour cette découverte.

Un second tome aussi noir que le précédent, nous sommes toujours dans une ambiance post-apocalyptique, froide et grise où la vie se déroule dans des biodômes et où le sang ne coulent plus que dans les veines des moins nantis, des rebus de la société, les autres ayant la change d’être transfusés afin de remplacer le sang par du bioplasma.


Ce bioplasma prolonge considérablement la vie des humains mais il est un poison mortel pour tous vampires, la plus part de ceux qui s’y sont essayé en sont mort, mais pas Aurore.

L’histoire est écrite à la première personne lorsque l’auteur fait référence à Aurore et à la troisième personne lorsque qu’il parle des autres personnages. Cela nous rapproche d’Aurore, ce qui n’est vraiment pas déplaisant car cette jeune vampire est un personnage que j’aime beaucoup et je trouve très intéressant de pouvoir s’identifier à elle, chose plus facile à faire lorsque le récit est écrite à la première personne.
J’ai beaucoup aimé Aurore, sa part d’humanité la rend attachante, même si elle reste une vampire assoiffée de sang.

Par contre, j’ai eu un peu de mal avec la multitude de personnages tout au long du roman, il m’a fallut un long temps d’adaptation qui m’a fait décrocher de l’histoire par moment.

Une fois les personnages remit bien en place, j’ai complètement adhéré à l’histoire sans plus en décrochée. Jean Vigne a un don pour captiver son lecteur et le tenir en haleine jusqu’au grand final.

Le style de Jean Vigne me plait beaucoup, son écriture est très agréable et accrocheuse, un vrai plaisir.





3 commentaires:

  1. Je suis d'accord avec toi de bout en bout! Moi aussi j'ai eu du mal avec les nombreux persos.

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  2. Du coup je sais pas quoi faire... Le lire ou non ?

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