mercredi 9 novembre 2016

Le journal de Gurty - Parée pour l'hiver




Titre : Le journal de Gurty – Parée pour l’hiver
Auteur : Bertrand Santini
Editions Sarbacane
Collection PEPIX
Nombre de pages : 176
Prix  : 9,90 €
Age : dès 8 ans

  

Tremble, Provence ! Gurty est de retour pour les vacances d’hiver. À peine arrivée, elle part en vadrouille pour annoncer son retour. Hourra ! Ils sont tous là ! Fleur, Tête de Fesses ! L’écureuil qui fait hi hi. Tiens ! Il y a même un nouveau voisin bizarre…
Les saisons changent, mais les vrais amis restent, même ceux qui énervent ! Avec eux, Gurty compte bien profiter des joies de l’hiver – et par la même occasion, se débarrasser de l’ATROCE petite amie de son maître, qui a l’impudence de vouloir s’installer sous leur toit !
Pas de souci : entre les batailles de neige, la chasse aux châtaignes et les roupillons devant la cheminée, avec Gurty, on s’éclate été comme hiver.


mardi 8 novembre 2016

Samedi 14 novembre




Titre : Samedi 14 novembre
Auteur : Vincent Villeminot
Editions Sarbacane
Collection EXPRIM’
Nombre de pages : 216
Prix  : 15,50 €
Age : dès 14 ans

  

B. était à la terrasse du café, quand les terroristes ont tiré. Son frère est mort, lui s’en sort presque indemne. Hagard, il quitte l’hôpital au matin, monte dans le métro. Son regard croise celui d’un passager… Stupeur. Il reconnaît ce visage : il s’agit d’un des hommes qui ont tué, la veille.
Alors que ses proches le recherchent dans une capitale meurtrie, B., sous le choc, décide de suivre l’assassin jusqu’à sa planque. Samedi 14 novembre est le récit du jour qui va suivre..


lundi 7 novembre 2016

C'est mon lundi



Rendez-vous initié par Mallou qui s'est inspirée de It's Monday, What are you reading ? 
La récap des liens se fait maintenant chez Galleane.

On répond comme chaque Lundi à trois petites questions :
1. Qu'ai-je lu la semaine passée ?
2. Que suis-je en train de lire en ce moment?
3. Que vais-je lire ensuite ?

samedi 5 novembre 2016

Les auteurs belges : Manon Elisabeth d'Ombremont



Aujourd’hui je vous présente une jeune auteure aussi sympathique et souriante que talentueuse qui vient de sortir son second roman aux édition L’Ivre-Book « Nechtaànomicon » mais c’est également une jeune étudiante et une grande lectrice.

Elle écrit depuis toujours car pour elle s’est une passion. Et ce qu’elle aime c’est l’univers fantastique, des vampires, des démons, des sorciers,… et avec elle, les méchants sont les héros.

Bien entendu, j’ai rencontré Manon lors d’un salon littéraire mais j’aurais très bien pu la croiser en rue puisque nous sommes toutes deux liègeoises. Lorsque je l’ai vue pour la première fois, j’ai été subjuguée par son look, car si depuis j’ai appris qu’elle avait un gout sûr pour les mots, ce jour là c’est son look qui a attiré mon attention.  Et depuis, à chaque fois que je la vois, je ne peux m’empêcher d’admirer ses tenues.

Mais là je m’égare un peu, revenons au sujet qui nous intéresse, ses livres.

En 2015, elle publie aux Editions Lancelot, le premier tome de Légendes Faës, la chienne de l’ombre. Mon avis.


Cette histoire n’est absolument pas féérique et n’a pas une fin heureuse. À peine donne-t-elle une morale. De toute façon, qui s’en soucie encore ? Le passé n’apprend plus rien, puisque personne n’en tire des enseignements ! Vous tenez entre vos mains le récit de la chute des mondes, provoquée par une poignée d’êtres aveugles. Des acteurs aisément remplaçables, animés par leurs désirs futiles de vengeance, de pouvoir et de sang. C’est une course éternelle, un cycle condamné à se répéter. Dans le nôtre, il n’aura fallu qu’une guerrière fomoire, un Seigneur noir, une reine banshee et un dieu-dragon pour déclencher une fin programmée. Ensemble, ils m’ont fait écrire l’Histoire en lettres de sang…

Septembre 2016, elle publie aux Editions L’Ivre-Book la première saison de Nechtaànomicon.

Dans une histoire normale, il incarnerait le sombre méchant supposé mourir à la fin dans un affrontement épique contre un beau et vertueux héros. Le problème : quelqu’un (qui n’a subi aucune menace…) a décidé de lui donner le rôle principal de ce récit. Après tout, le bien, le mal, c’est une affaire de point de vue ! L’Ar’narakhe Nechtaàn est aussi ambitieux qu’égocentrique. Son but : détrôner Bélial et devenir le Sat’han de l’Envie. Son problème : il est scellé dans le corps d’un mortel et son ancestral ennemi choisit justement ce moment pour réapparaître… Et s'il n'y avait que ça !

Nechtaànomicon fut d’abord une saga numérique publiée chez l’Ivre-Book avant de devenir un roman papier.

Suite à la sortie de ce roman, Manon a été invitée par Françoise Bonivert pour son émission l’Ardent Parler diffusé sur RTC Télé-Liège.


Elle a également écrit Lune de miel, une courte histoire disponible en numérique chez L’Ivre-Book et sur Amazon.

Paris, 1876. Lison a perdu ses parents, assassinés dans des circonstances mystérieuses et particulièrement sanglantes.Un an après, elle tente toujours d'échapper à la folie.
Au cœur des ombres, un monstre émerge et la tourmente, quelques jours avant son mariage arrangé. Réalité ou construction d'un esprit malade ? Parfois, la frontière peut être mince.

Maintenant que vous savez ce qu’elle fait et écrit, passons aux réponses qu’elle a eu la gentille de donner à mes questions.
Questionnaire
- Ce métier n’est pas facile et la concurrence ne manque pas, comment décrivez-vous l’ambiance entre auteurs ?
Je voudrais pouvoir dire qu’on s’entend tous très bien, qu’on est comme une famille soudée et unie, mais ce n’est pas le cas avec tout le monde. Le milieu de l’édition est un microcosme comme n’importe quel autre, avec ses jalousies, ses coups bas, mais aussi ses gens intègres. On a nos affinités avec certains, pas avec d’autres, le tout est de savoir rester professionnel et poli avec tout le monde, mais aussi de garder ses distances quand c’est nécessaire. Pour reprendre les paroles d’une auteure que j’admire beaucoup (Cassandra O’Donnel pour ne pas la citer) il faut savoir scinder le pro et le privé. Malheureusement, certains n’en sont pas capables et cela peut créer des situations pénibles. Le tout est, je pense, de ne pas se mêler des affaires des autres.

- La Belgique est un petit pays, pensez-vous que les contacts entre les auteurs belges sont plus privilégiés ou plus facile par rapport aux auteurs d’autres nationalités ? Personnellement, je croise beaucoup plus souvent des auteurs français et j’ai de meilleurs contacts avec eux, parce qu’ils ont une autre mentalité et que je fais énormément de salons à l’étranger. Les auteurs belges ne sont pas beaucoup mis en avant sur le territoire, à l’exception de certaines manifestations très ponctuelles, ce qui n’aide pas à se rencontrer et à se côtoyer. Du coup, quand on se parle, c’est souvent par facebook ou, assez ironiquement, pour se retrouver à l’étranger.

- Accordez-vous de l’importance à ce qui s’écrit sur le net, notamment par les blogueurs, sur vos livres ?
Les avis de blogueur sont très importants pour l’avenir d’un livre, je prends grand soin de lire ce qu’on dit au sujet de mes ouvrages, surtout si on me fournit des critiques constructives. On peut toujours s’améliorer, rien n’est parfait, mais on ne peut pas se remettre en question si on n’accorde pas de l’attention à ce que pensent les acteurs de la chaîne du livre ! Et les blogueurs en sont un très important, dont on doit davantage respecter le travail.

- Diriez-vous que le travail des blogueurs, toujours plus nombreux, est plutôt positif ou plutôt négatif pour les auteurs ? Pourquoi ?
 Il est positif s’il est fait convenablement. Certes, recevoir un avis de trois lignes qui exprime à quel point on a pu adorer mon roman, ça fait plaisir, mais ça ne « m’aide pas ». Je ne sais pas quel point a primé dans ce sentiment, si la personne a aimé mes personnages, mon intrigue, mon univers, mon style, ce qu’elle a moins aimé… C’est parfois frustrant, bien que gratifiant. Évidemment, tout le monde n’est pas blogueur et critique, tout le monde n’a pas envie de commencer à analyser sa lecture pour savoir ce qui était très bon ou moins bon (moi-même je ne le fais pas toujours.) Sur un plan personnel, je préfère une critique nuancée avec le positif et le négatif. Je trouve que beaucoup de blogueurs vont à la facilité, en choisissant la quantité de chroniques au dépit de la qualité, et on se perd rapidement dans la masse. Difficile de savoir qui est fiable, qui fait bien son « travail » et qui cherche juste à profiter du système, à avoir un maximum de SP pour ne pas payer ses livres. Eh oui, il y en a qui se disent blogueurs juste pour cet avantage, et je trouve que ça donne aux personnes sérieuses une mauvaise réputation, par contrecoup. Le travail des blogueurs est très important, d’autant qu’il est bénévole et je trouve ça merveilleux que des gens désirent partager leur passion sans rien (ou presque) attendre en retour. Ils sont les intermédiaires entre le public et les auteurs, et ils sont vitaux pour le devenir d’un livre. Pour moi, impossible de s’en passer, mais il faut aussi relativiser. Un mauvais avis ne va pas détruire un livre, je trouve que certains auteurs l’oublient trop souvent, tout comme ils oublient que les blogueurs sont des bénévoles.

- Pensez-vous que la proximité et l’échange avec vos lecteurs soient importants et apportent quelque chose de positif dans votre carrière ?
Oui, c’est très important de pouvoir échanger de vive voix avec les gens qui vous lisent, de pouvoir discuter. Déjà, ça rend l’expérience plus réelle mais ça donne aussi une bonne dose de motivation et c’est très enrichissant. On se rend compte qu’on est lu par un large panel de gens, de tout âge, de tout horizon, ce qui est une belle surprise. Pour moi, un auteur ne peut pas se passer du contact avec ses lecteurs.

- Participez-vous avec enthousiasme à des salons ou foires littéraires ?
Toujours avec grand plaisir, oui !

- Préférez-vous un petit salon regroupant quelques auteurs et permettant une forte proximité avec un public restreint ou un gros salon où le public est nombreux ?
Je pense qu’un gros salon n’empêche pas d’avoir une proximité avec son public, si on prend le temps de discuter avec tout le monde. Personnellement, je préfère les salons qui sont organisés avec talent et professionnalisme, peu importe leur taille ou le public visé.

- Votre maison d’édition vous impose de choisir un style littéraire et de vous y cantonner. Acceptez-vous ? Si oui, lequel choisissez-vous ?
Oui et non. Je n’accepte pas que l’on me bride et je ne l’accepterai jamais, j’écris au feeling l’histoire qui me vient et je vois ensuite dans quel genre elle se classe. Toutefois, il est normal qu’une maison d’édition soit spécialisée dans un genre et ne souhaite pas en publier d’autre ! Tant qu’on le sait en amont, aucune raison de se plaindre, encore moins si la maison en question ne fait pas de difficultés à ce que l’on publie d’autres ouvrages ailleurs.
Si je devais choisir un genre, ce serait bien évidemment la fantasy. C’est dans ce genre que je suis le plus à l’aise.

- Vous pouvez écrire en duo avec un autre auteur (belge ou non), qui choisissez-vous ?
Si je dois choisir un auteur belge, ce serait probablement Aspi Deth. Si c’est un auteur français, je réquisitionne Pierre Pevel. Et si c’est un auteur étranger… James Barclay, évidemment ! Et si c’est un auteur décédé, probablement Alexandre Dumas.

- Quel est l’endroit où vous préférez être pour écrire ?
Mon lit. J’écris toujours mieux dans ma chambre avec de la bonne musique à fond.

- Votre vie personnelle influence-t-elle vos écrits ?
Non, je distingue totalement ma vie privée de ce que j’écris et je suis toujours un peu gênée quand je lis un ouvrage d’un auteur qui ne le fait pas, je me sens comme une voyeuse. Du coup, je fais vraiment le maximum pour que ça n’arrive pas. Après, je pense qu’on est tous influencés par notre vécu, notre imaginaire, nos lectures, et cela est normal, mais ça ne veut pas dire que ce qu’on écrit est une autobiographie cachée (heureusement pour moi, non ? ;) )

- Lequel de vos personnages vous ressemble le plus ? Pourquoi ?
Je pense que je suis un mélange de Bluenn et Livia, nous partageons le même pragmatisme et le même genre de caractère.

Cinq réponses du coeur
- Un auteur ? J. K. Rowling
- Un roman ? Le comte de Monte-Cristo.
- Une époque ? Le 19e siècle en France.
- Un genre littéraire ? La Fantasy
- Une devise ? Il faut avoir voulu mourir pour savoir combien il est bon de vivre.

- Un petit conseil à ceux qui souhaiterait se lancer dans l’aventure de l’écriture ? Écoutez votre cœur et votre instinct, ne laissez personne vous transformer pour vous faire entrer dans un moule. Soyez fiers de votre individualité, de votre différence.  

Son site internet : http://dombremont.com

Sa page Facebook : https://www.facebook.com/medombremont/

jeudi 3 novembre 2016

Premier Chagrin



Titre : Premier chagrin
Auteur : Eva Kavian
Editions Mijade
Nombre de pages : 189
Prix  : 6,00 €
Age : dès 10 ans

  

Sophie s'apprête à faire son premier baby-sitting. Quelle surprise lorsqu'elle découvre que c'est une grand-mère et non une jeune maman qui a posé l'annonce. A partir de ce moment, rien ne se passe comme prévu, et la vie de Sophie va en être bouleversée.



Un roman dont vous ne sortirez pas indemne

mercredi 2 novembre 2016

Victor Tombe-dedans sur l'Ile au trésor



Titre : Arthur Tombe-dedans sur l’Ile au trésor
Auteur : Benoît Minville
Editions Sarbacane
Nombre de pages : 224
Prix  : 10,90 €
Age : dès 8 ans




Un matin pluvieux de vacances, l’intrépide canaille Victor met un plan en action afin de passer une journée dans sa chambre, pour (se) plonger dans le livre qu’il a choisi : L’Ile au trésor.

Dès les premiers mots, son fabuleaux pouvoir d’imagination l’emporte et il se retrouve les deux pieds dans le sable des Caraïbes, face au terrible pirate Chien nous… mais aussi aux côtés de Jim Hawkins, le jeune héros de l’histoire de Stevenson. Ensemble, les deux garçons vont partir à la recherche d’un trésor, rencontrer Long John Silver, voir net dans son jeu double et, après bien des péripéties, déjouer les pièges des pirates mutins…


mardi 1 novembre 2016

Légendes faës, La chienne de l'ombre




Titre : Légendes Faës, tome 1 : La chienne de l’ombre
Auteur : Manon Elisabeth d’Ombremont
Editions Lancelot
Nombre de pages : 301
Prix  : 15,00 €


Cette histoire n'est absolument pas féérique et n'a pas une fin heureuse. À peine donne-t-elle une morale. De toute façon, qui s'en soucie encore ?

Le passé n'apprend plus rien, puisque personne n'en tire des enseignements !

Vous tenez entre vos mains le récit de la chute des mondes, provoquée par une poignée d'êtres aveugles. Des acteurs aisément remplaçables, animés par leurs désirs futiles de vengeance, de pouvoir et de sang. C'est une course éternelle, un cycle condamné à se répéter.

Dans le nôtre, il n'aura fallu qu'une guerrière fomoire, un Seigneur noir, une reine Banshee et un dieu-dragon pour déclencher une fin programmée.

Ensemble, ils m'ont fait écrire l'Histoire en lettres de sang...