Bonjour à tous, en ce mois
de mais je vous présente une auteure Liègeoise dont la bonne humeur et la joie
de vivre est très communicative.
En effet, Michèle Hardenne a toujours le sourire que le temps soit beau
ou que la pluie nous mine, Michèle est un soleil.
Et ce n’est pas que sa
présence qui est un soleil, car avec ses écris elle nous communique également
le soleil de son cœur.
En 2010, elle sort
le premier tome de sa série Iris Blanche, catégorisé Policier-Romance. Suivront deux tomes : Le boureau
des cœur et Déni de famille.
Iris Blanche raconte l'histoire d'une inspecteure de Police à la criminelle.
Elle publie également en
2010, un magnifique polar-fantastique qui vous fera voir à tout jamais les
souris d’un autre œil : Le chant des souris
Amoureuse des mots, elle
aime la poésie et sort un receuil de texte en prose et poésie : Mémo Thème.
Cette année, Michèle
Hardenne se diversifie encore en nous offrant sont tout dernier roman de
sience-fiction cette fois : Les fille de Minahytu.
Sur son blog (voir plus
bas), vous découvrirez une série de textes que l’auteure nous offre au fil des
moments passés.
Surtout, n’hésitez pas à aller la
saluer et échanger quelques mots avec elle au fil de différents salons
littéraires.
Allons faire un peu plus
connaissance avec cette femme de cœur en lisant ses réponses à mes questions.
- Ce métier n’est pas
facile et la concurrence ne manque pas, comment décrivez-vous l’ambiance entre
auteurs ?
Les auteurs que je rencontre principalement lors
d’événements « littératures » sont en ce qui me concerne souvent
bienveillants. Qu’ils soient en autoédition ou publiés par un éditeur, nous
sommes tous présents pour faire découvrir notre univers de « mots »
et partager nos histoires qu’elles soient un témoignage ou le pur fruit de
notre imagination. Je ne me présente pas comme une concurrente par rapport aux
autres auteurs, écrire n’étant pas mon métier. Malheureusement, le livre a un
coût de fabrication et déjà récupérer les frais de publication et de
participation aux salons ou foires, sans réaliser de bénéfices
« commerciaux » est valorisant pour la passion que l’on souhaite
faire découvrir.
- La Belgique est un petit
pays, pensez-vous que les contacts entre les auteurs belges sont plus
privilégiés ou plus facile par rapport aux auteurs d’autres nationalités ?
Je ne pense pas qu’il y ait plus de privilèges
que l’on soit un auteur belge ou étranger, obtenir une reconnaissance pour son
travail dépend de la médiatisation, mais c’est au lecteur que revient le
dernier mot.
- Accordez-vous de
l’importance à ce qui s’écrit sur le net, notamment par les blogueurs, sur vos
livres ?
Oui ! À mon niveau, toute critique est la
bienvenue : les positives me feront découvrir, les négatives me
permettront de m’améliorer. J’écris pour être lue !
- Diriez-vous que le
travail des blogueurs, toujours plus nombreux, est plutôt positif ou plutôt
négatif pour les auteurs ? Pourquoi ?
La critique est aisée ! Toujours appréciée
quand elle est flatteuse, moins bien tolérée quand elle est négative… Mais on
ne peut plaire à tout le monde ! Quoi qu’il en soit, les blogueurs font un
énorme travail et c’est celui-là qui m’intéresse ! Si une de mes histoires
n’a pas plu, sur le fond ou la forme, la critique me permet de grandir et peut
être une belle source d’inspiration pour un futur manuscrit.
- Pensez-vous que la
proximité et l’échange avec vos lecteurs soient importants et apportent quelque
chose de positif dans votre carrière ?
C’est pour cela que j’écris aussi : pour
faire des rencontres et des échanges ! Le lecteur qui découvre
physiquement l’auteur peut avoir une approche différente de la lecture.
- Participez-vous avec
enthousiasme à des salons ou foires littéraires ? Toujours !
- Préférez-vous un petit
salon regroupant quelques auteurs et permettant une forte proximité avec un
public restreint ou un gros salon où le public est nombreux ?
Les gros salons peuvent augmenter le chiffre des
ventes, chacun y fait son business, mais ils n’offrent pas l’intimité d’une
discussion « privilégiée » avec l’auteur. Le petit salon permet aux
auteurs et aux lecteurs une plus belle approche de ce que l’un propose et de ce
que l’autre recherche.
- Votre maison d’édition
vous impose de choisir un style littéraire et de vous y cantonner. Acceptez-vous ?
Si oui, lequel choisissez-vous ?
La maison d’édition qui me soutient est
jeune, je suis actuellement sa seule autrice, j’ai carte blanche pour laisser
libre cours à mon imagination. J’ai tant de choses à écrire que je ne pourrai
me cantonner dans un seul style littéraire.
- Vous pouvez écrire en duo
avec un autre auteur (belge ou non), qui choisissez-vous ?
Aucun ! La magie de l’écriture c’est d’y
créer son monde et d’y faire adhérer des lecteurs. Écrire en duo, c’est
partager sa personnalité, c’est fluidifier son essence.
- Quel est l’endroit où
vous préférez être pour écrire ?
Peu importe l’endroit, pourvu qu’il y ait un
lecteur de CD, une température avoisinant les
20 °C et une machine à café.
- Votre vie personnelle
influence-t-elle vos écrits ?
Oui ! Ce que j’entends, ce que je vois,
les rencontres, les lieux,… m’influencent dans mes réflexions et font le tissu
de ma création.
- Lequel de vos personnages
vous ressemble le plus ? Pourquoi ?
Si je devais m’identifier à un de mes
personnages, ce serait Iris Blanche ; une femme qui malgré ce que la vie
peut apporter, garde l’espoir que le beau peut encore arriver !
Cinq réponses du
coeur
- Un auteur ? Frank
Baum
- Un roman ? Le
magicien d’Oz
- Une époque ? Le
présent qui est peut-être passé mais qui connaît des lendemains
- Un genre
littéraire ? Émotion, imagination, réflexion
- Une devise ? Le
temps de vie qui nous est réservé n’est pas fait pour reculer, mais pour
avancer !
Votre site internet :
divers blogs
Votre page Facebook : https://www.facebook.com/michele.hardenne
Un tout grand merci pour ta participation
Un tout grand merci à toi qui vient à notre rencontre et au magnifique travail d'écriture de blogueuse qui permet de nous faire découvrir.
RépondreSupprimerJ'ai commencé par quelques phrases sur un blog et puis...les mots s'enfilent, défilent et finissent par sortir de l'écran pour voyager sur du papier :)