In My Mailbox a été mis en place par Kristi du blog The Story Siren, inspiré par Alea du blog Pop Culture Junkie et repris en français par Lilie du blog La bibliothèque de Lilie.
Aujourd'hui le récapitulatif des liens se fait sur le blog Lire ou Mourir.
C'est un moyen de partager les livres acquis au cours de la semaine.
Aujourd'hui le récapitulatif des liens se fait sur le blog Lire ou Mourir.
C'est un moyen de partager les livres acquis au cours de la semaine.
Exceptionnellement, cette semaine ce billet sera un peu spécial parce que je vais vous parler non seulement de mes acquisitions mais également du lieu où je les ai acheté.
Ce 13
septembre 2015, je me suis rendu au 2ème Salon du livre d’Ouffet.
Je vous
entends d’ici : « De où ? »
D’Ouffet,
alors, si vous n’êtes pas Belge, vous ne connaissez certainement pas ce petit
village situé entre Liège et Marche.
Petit village, qui, soit dit en passant est très joli.
Revenons à
nos moutons, ou plutôt à nos livres.
Je n’avais
pas assisté à la première édition car j’ignorais qu’un tel évènement avait lieu
à l’époque et cette année, c’est grâce à Sylvie
Ginestet que je suis sur facebook que j’ai appris son existence car peu de
publicité est faite autour de l’évènement et je trouve ça dommage.
J’espère
que pour la prochaine édition, la publicité sera plus conséquente, tout comme
le fléchage qui était on ne peut plus minimaliste. Mais rassurez-vous, nous avons bien trouvé le lieu où était
rassemblé une vingtaine d’auteurs belge venu passer leur week-end à la rencontre du
public.
J’adore ces
petits salons où la proximité avec les auteurs est totale. L’ambiance conviviale rend la rencontre
très intimiste et enrichissante.
Les auteurs présents étaient tous fort sympathiques et prêt à échanger
quelques mots avec chacun afin de présenter leur travail et leur univers.
Souvent
quand je me rends à ce genre d’évènement, je marche au coup de cœur. Un coup de
cœur pour un résumé, pour une couverture, pour l’auteur, bref, je me
laisse emporter par l’émotion du moment.
Le seul problème c’est que le budget n’est pas extensible et qu’il faut
bien se limiter, malheureusement.
Mon premier
objectif était de me procurer le second tome de la série écrite par Sylvie
Gynestet, Les imhumvamps parce que
j’avais beaucoup aimé le premier tome et qu’il me tarde de lire ce second volet
mais aussi parce que le troisième tome sort en octobre. J’avais eu le plaisir de rencontrer
Sylvie à la foire du livre de Bruxelles où je l’avais déjà trouvé très
sympathique et ouverte. Depuis je la suis sur facebook où elle partage
volontiers avec ses lecteurs. Cette second rencontre n’a fait que renforcer mon
avis premier.
Après plusieurs mois passés parmi les humains, Lilly rencontre sa première grande difficulté.
Prendre le train est une chose facile pour le commun des mortels mais, pour une jeune vampire, imaginez la complexité lorsque les événements s’enchaînent et deviennent incontrôlables !
Bien qu’ils ne se côtoient plus aussi souvent qu’elle le désirerait, la jeune femme fait de nouveau appel à Darren, qui la sauvera de la mauvaise passe dans laquelle elle se retrouve.
Il décidera de la garder près de lui, car qui sait quelles conséquences désastreuses auraient pu découler de ce périple dans le sud de la France!
Commence alors un voyage qui les mènera à « La Recouvrance » de Lilly. Mot poétique et tellement fort qui expliquera le mal-être de la jeune femme, et tellement d’autres choses auxquelles personne ne s’attendait… ni même Darren…
Comment géreront-ils cette nouvelle condition ?
Prendre le train est une chose facile pour le commun des mortels mais, pour une jeune vampire, imaginez la complexité lorsque les événements s’enchaînent et deviennent incontrôlables !
Bien qu’ils ne se côtoient plus aussi souvent qu’elle le désirerait, la jeune femme fait de nouveau appel à Darren, qui la sauvera de la mauvaise passe dans laquelle elle se retrouve.
Il décidera de la garder près de lui, car qui sait quelles conséquences désastreuses auraient pu découler de ce périple dans le sud de la France!
Commence alors un voyage qui les mènera à « La Recouvrance » de Lilly. Mot poétique et tellement fort qui expliquera le mal-être de la jeune femme, et tellement d’autres choses auxquelles personne ne s’attendait… ni même Darren…
Comment géreront-ils cette nouvelle condition ?
Pour la
suite, je n’avais aucune envie particulière, sinon celle de faire de belle
découverte. Et je dois dire que j’ai été gâtée de ce côté-là. J’ai rencontré des personnes vraiment
agréables qui étaient là pour présenter leur livre et donner envie qu’on le
lise et il y en avait pour tous les goûts, du fantastique, des nouvelles, du
roman, de la romance, bref pour tout le monde, des petits comme des grands.
Pour ne pas
faire un billet de vingt pages, je me limiterai aux achats que j’ai faits.
J’ai eu le
coup de cœur pour plusieurs auteurs mais mon choix c’est arrêté sur trois
d’entre eux.
Pour l’un
des trois, la couverture de son livre m’a vraiment sauter en plein visage, tout
comme le sourire de l’auteur. Ceux qui me suivent savent que j’accorde assez
bien d’importance aux couvertures et que je peux difficilement résister à une
belle couverture.
Ici, en
plus, l’histoire m’a interpellée.
Une romance sur fonds de mafias, un thriller sur font de romance. Voilà
qui devrait me plaire !
De plus, la
jeune auteur Aspi Deth très
avenante et quand elle parle de son livre, on sent tout l’amour qu’il a mis
dans son travail, j’ai hâte de voir ce que cela va donner, en espérant que ce
premier tome de Les Velazquès me
donnera envie de lire le second.
Lorsqu'elle fait la connaissance de Ricardo Velázquez, un séduisant et mystérieux Vénézuélien, Marie ignore à quel point cette rencontre aussi atypique qu'explosive va bouleverser son quotidien.
Irrésistiblement attirés l'un vers l'autre, elle tentera de découvrir la vérité à son sujet et apprendra à ses dépens à ne pas se frotter aux membres de la famille du jeune homme, aussi redoutables les uns que les autres.
Entre guerre des gangs, coup de foudre, complots et amours interdits, découvrez la saga numérique à ne pas manquer enfin disponible en version papier, cocktail explosif de mafia et de romance.
Irrésistiblement attirés l'un vers l'autre, elle tentera de découvrir la vérité à son sujet et apprendra à ses dépens à ne pas se frotter aux membres de la famille du jeune homme, aussi redoutables les uns que les autres.
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Second coup
de cœur pour une auteur, Marie-Isabelle
Tasset, je l’ai trouvé vraiment charmante, souriante et avenant. De plus elle parle de son livre avec
tellement d’enthousiasme que je me suis dit que, même si de prime abords ce
n’est pas le genre de roman vers lequel je me tournerais, je ne pouvais pas
passer à côté de son livre Les petits galets.
C’est aussi
ça l’intérêt de ce genre d’évènement, découvrir des choses qu’on n’aurait pas
acheté en temps normal.
Destin ? Hasard ? Libre arbitre ? Fatalité ? Notre parcours est-il écrit à l'avance ? Sommes-nous libres de nos décisions ou ne sont-elles que « l'ignorance des causes qui nous font agir » ? Si nous le pouvions, voudrions-nous connaître l'avenir ou préfèrerions-nous l'ignorer ? De la Normandie à Paris, de la petite à la grande Histoire, l’auteur tente de démêler l’écheveau des doutes et des espoirs.
Dernier
livre acheté, Et si on laissait croire
les bonnes sœurs !
Avouez que
rien que le titre est interpellant.
Et encore, vous n’avez pas rencontré l’auteur ! Un personnage
vraiment très sympathique et plein d’humour, quelqu’un avec qui l’on échange
très facilement du premier coup.
Son livre regorge de petits textes sur tout un tas de sujet, encore un
livre qui n’aurait pas fini chez moi sans ce salon mais qu’il m’était
impossible de ne pas me procurer après avoir discuté avec l’auteur.
Paresse intellectuelle, désinformation ou une simple envie de croire sont des agression constante. Souvent la tentation de se laisser bercer par nos illusion est forte. Pourtant, l'épanouissement et le bonheur ne se construisent pas sur des chimères. Ces courtes nouvelles invitent votre diligence à faire la différence entre croire et savoir. Il est peut-être judicieux de laisser croire les bonnes soeurs avec les paumes de mains jointes pendant que nous nous concentrons sur la vérités!
Laurent Nizette est édité par une maison d’édition belge
Acrodacrolivres (http://acrodacrolivres.be) qui est
géré par Bou Bounoider, auteur également, dont je me serait bien procurer un ou
deux ouvrage, mais ce n’est que partie remise. Bou Bounoider est une personne qui a un amour inconditionnel
des livres et des gens. Alors, non, je ne le connais pas personnellement mais c’est
ce que j’ai ressentit en discutant avec lui. On le sent passionné par ce qu’il fait et on voit qu’il se
donne sans compter. Je pense qu’il
fait partie de ces gens qui vous enrichissent lorsque vous les rencontrer. Juste encore un mot sur cette maison
d’éditions, c’est un évènement autour des livres qu’ils organisent lors de la
journée de la femme et qui doit certainement valoir le coup :
ELLEs se LIVREnt
dont la seconde éditions aura lieu les 5 & 6 mars 2016 à Braine-l'Alleud (Belgique)